Je garde dans la solitude
Comme un pressentiment de toi.
Tu viens ! Et le ciel se déploie,
La forêt, l’océan reculent.
...
Les arbres ont de grands coups d’ailes
Derrière et devant les buissons.
La vague, au loin, parallèle,
Se met à briller par frissons.
Max Jacob